Dragon Ball : Ces Détails Troublants Que Même Les Fans Oubliés Ont Oubliés

Depuis ses débuts dans les années 80, Dragon Ball a traversé les époques, les générations, et les formes de cheveux. Ce manga devenu phénomène mondial n’a jamais cessé de faire vibrer les fans, qu’il s’agisse de la naïveté d’un Goku enfant, des combats épiques de Dragon Ball Z, ou des surenchères cosmiques de Super. Pourtant, malgré une base fan ultra-investie, certaines bizarreries, contradictions ou zones d’ombre ont survécu aux décennies sans être résolues. Et elles sont parfois… énormes.
Oui, Dragon Ball, ce n’est pas que des Kamehameha.
Goku et le mythe de la cohérence
Parmi les nombreuses incohérences relevées par les fans, certaines sont devenues légendaires. Un bon point de départ pour les explorer reste les plus grosses incohérences dans Dragon Ball, qui met en lumière plusieurs moments où même les plus fidèles spectateurs ont froncé les sourcils. Prenons un exemple emblématique : l’âge de Goku…
Mais ce n’est pas le seul paradoxe temporel de la saga. Trunks du futur, les multiples timelines, Cell qui revient du passé mais connaît les événements du futur… On frôle parfois la fanfiction involontaire. Et pourtant, tout cela passe, car l’univers de Toriyama est si foisonnant, si attachant, qu’on pardonne presque tout.
Dragon Ball Z : quand le sérieux s’invite dans la baston
La grande force de Dragon Ball Z, c’est ce changement de ton. Loin de l’humour potache de la première série, la saga Z introduit les enjeux existentiels : la mort, la vengeance, le sens du sacrifice. Gohan devient le miroir d’un Goku absent, Piccolo l’anti-héros qui gagne le cœur des fans.
Mais là encore, certaines scènes frôlent le non-sens si on les regarde avec un œil critique. Les Z-Fighters qui assistent aux combats sans intervenir, les rapports de puissance qui changent selon la scène, les ennemis qui prennent 15 épisodes pour charger une attaque pendant que les autres les regardent faire… Le rythme n’est pas toujours du côté de la cohérence.
Et pourtant, ces scènes sont devenues cultes. Parce qu’au fond, Dragon Ball Z ne se vit pas avec la tête, mais avec le cœur (et les poings).
La nostalgie Dragon Ball : entre amour et oubli
Ce qui rend Dragon Ball si singulier, c’est aussi sa capacité à renaître. Dragon Ball GT, bien qu’ayant divisé les fans, reste une tentative ambitieuse. Dragon Ball Super, en dépit de ses débuts maladroits, a réussi à raviver la flamme. Et l’annonce récente de Dragon Ball Daima, avec un Goku redevenu enfant, fait écho à cette envie de renouer avec les origines.
Pour ceux qui se demandent comment revoir les épisodes, ou suivre les prochaines sorties, nous vous conseillons cet article pratique : où et comment voir Dragon Ball Daima. Il offre un récap utile pour ne rien manquer des futures aventures du petit (mais costaud) Goku.
Pourquoi on aime Dragon Ball, malgré tout
Au fond, ce n’est pas pour sa logique narrative qu’on aime Dragon Ball. C’est pour ses moments d’intensité brute. Le regard de Gohan lorsqu’il affronte Cell. Le cri de Goku face à Freezer. L’ultime Genkidama. La musique, les doublages, les transformations : tout est taillé pour imprégner la mémoire collective.
Et même si on repère ici et là des erreurs, des oublis ou des réécritures, cela fait aussi partie du charme. Comme une vieille saga familiale qu’on connaît par cœur, avec ses contradictions, ses silences, et ses éclats.
Aujourd’hui encore, le manga continue de faire parler, que ce soit à travers ses nouveaux arcs ou ses produits dérivés. Des plateformes comme Crunchyroll ou ADN relancent l’intérêt, tandis que les communautés sur Reddit ou Discord décortiquent chaque scène image par image.